Votre code de conduite

02/06/2015 20:12

Un code de conduite représente ce que la tribu nous a imposé : les lois. Tu dois faire ceci ou cela. Etant donné que vous venez de découvrir votre véritable identité c’est-à-dire que vous êtes dieu, je ne saurai et prétendrai ici vous limiter par quelques lois que ce soit. Cela relève du domaine des hommes, des endormis. Vous en tant que dieu, vous êtes illimité, infini.

Par conséquent, dans ce chapitre, je préfèrerais  partager avec vous les principes que je me suis moi- même imposé et que je partage avec d’autres dieux dans certains points de vue. Je ne vais pas vous rappeler que si vous êtes dieu, vous êtes unique en votre genre, une création parfaite qu’aucune autre créature ni avant vous ni après vous n’égalera. Pour vous en convaincre, regardez vos empreintes digitales, uniques au monde.

Dans la mythologie grecque, vous savez qu’il y avait plusieurs dieux, le dieu du tonnerre, du feu, de l’eau, du vent etc. De même aujourd’hui dans notre individualité, nous sommes  plusieurs dieux avec des caractéristiques et pouvoirs divers et ayant chacun sa mission à remplir ici-bas sur cette terre.

En ce qui me concerne, je vais partager avec vous les principes qui m’ont guidé et me guident dans la recherche de mon auto croissance.

1 -  Je n’ai rien à prouver :

La plupart d’entre nous avons grandi conditionné par la tribu et par notre propre égo ou notre désir de paraitre, qui fait qu’à chaque fois que nous soyons en compétition. Nous devons prouver aux autres que nous sommes meilleurs, différents. Qu’ils doivent nous louer ou se soumettre. Je me souviens que cette idée de vouloir prouver quelque chose m’a tellement hanté quand je ne connaissais pas cette loi, que j’en devenais malade et jaloux quand quelqu’un me dépassait ou était meilleur que moi. A l’école, je voulais toujours être premier pour montrer aux autres que j’étais meilleur. Avec les autres, j’essayais toujours d’être différent parce que je voulais prouver quelque chose.

L’acquisition des biens, de l’argent, de la connaissance vise toujours ce but. Vouloir toujours prouver quelque chose est cause de conflits que nous avons avec autrui et avec la société. Et il y a toujours cette question que j’ai souvent entendu autour de moi : « sais-tu qui je suis ? » «  je vais te montrer qui je suis ».

Nous souffrons de ce désir de vouloir toujours prouver quelque chose. Notre égo qui ne se satisfait jamais, est toujours là pour nous y pousser et parfois en voulant le faire, nous allons au-delà de nos possibilités et faisons des tas de conneries.  Vouloir impressionner l’amour de sa vie ou l’objet de ses convoitises amène parfois certains à se compromettre,  à voler, à tricher, à mentir, à intégrer des clans ou des groupes qu’on ne devrait pas fréquenter, à entrer dans les dettes et autres.

Tous dans la vie nous voulons prouver quelque chose : à nos parents pour avoir leur appréciation ; aux collègues ou aux patrons pour avoir leur faveurs ; A la société pour en être vu : devenir star.

C’est une maladie qui nous plonge dans d’énormes problèmes et occasionne la plus part des temps notre perte ou parfois comme la tribu essaye parfois de le dire à faire éclore notre génie.

Depuis que j’ai découvert, ces lois du bonheur, je n’essaye plus de vouloir prouver quoique ce soit, ni à qui que ce soit. Je suis juste moi, Louis MVILONGO. Je ne  me mesure ou ne me compare à personne, car cela est  loin de me rendre heureux. J’ai toujours entendu, « eh Louis, t’as vu tel, il est devenu tel, il roule carrosse et toi t’es toujours là avec tes histoires d’internet, les trucs des blancs. Tu as tort, tu n’es pas réaliste. Tu perds ton temps pour rien. » Cette phrase, ou ces phrases, on me l’a chanté des tas de fois. Je n’y ai jamais prêté attention car non seulement je suis conscient de ma véritable nature divine, de l’objectif que je vise. Je suis aussi conscient de mon véritable potentiel et que me comparer à un mortel, relève de la bassesse.

Je n’y ai pas prêté souvent attention. Ils ne peuvent mesurer l’étendue de ma fortune. Il ne voit que les immeubles et les grosses voitures, les honneurs. C’est du domaine de leur dimension. Je le leur concède. J’ai toujours été en paix avec moi-même et poursuit avec la paix, le chemin qui mène à mon auto croissance : mon bonheur.

Si vous aussi, vous voulez conquérir votre véritable identité de dieu, débarrasser vous de ce désir de vouloir prouver quoique ce soit à quelqu’un. Vous êtes dieu, créateur de votre destinée et cela vous suffit. Vous comparez à l’autre relève tout simplement de la bassesse.

Mais je ne voudrais pas ici dire que l’on ne doit pas admirer des bons modèles et essayer de les copier. Je parle de se débarrasser d’un désir obsessionnel de vouloir prouver quelque chose à quelqu’un ou à soi- même. Aspirer à quelque chose et différent d’envier quelque chose. Si une chose est bonne ou quelqu’un excelle dans un domaine vouloir l’imiter ne relève pas du désir de vouloir à tout prix prouver quelque chose ou de se comparer à lui.

Apprendre et s’améliorer est tout ce que veut dire le mot bonheur : créateur de croissance.

On apprend chez les maitres, chez ceux qui ont un plus à nous apporter. Mais rassurez-vous comme quand je vous parlais des signes tout à l’heure, votre maitre peut prendre l’aspect de n’importe qui y compris votre enfant, un fou dans la rue, un patron, un parent. N’importe qui a toujours quelque chose à vous apprendre. Soyez juste humble pour savoir ce qu’est cette leçon et quand vous l’avez apprise, vous pouvez continuer votre route chez d’autres maitres.

Retenez bien, vous n’avez rien à prouver à qui que ce soit y compris à vous-même de peur de vous retrouver prisonnier de votre égo. Ce dernier est le plus méchant et le plus vilain des maitres. De lui vous n’avez aucune leçon à apprendre sinon celle de l’orgueil. La suite vous la connaissez.

2- Je n’ai rien à protéger

 Toute notre vie, nous faisons des acquisitions de connaissances, de biens et des personnes. Ce sont souvent nos trésors. Le plus grand de ces trésors reste notre orgueil, notre fierté, notre honneur, notre renommée.

On se bat pour que la honte, notre orgueil, notre fierté demeure intacte. Parfois quitte à faire taire l’imposture. Nous  refusons la correction, les remarques, les injures, les insultes, le ridicule.

S’il y a quelque chose que je fais désormais sans souci, c’est de faire ce que j’ai  à faire telle que je j’ai pensé quitte à subir le ridicule, les injures et tout ce qui va avec. S’il y a un trésor que je devrais protéger, c’est mon cœur contre des pensées négatives qui pourraient le traverser.

Tout le reste, je joue la carte du «  je m’en fou ». Auprès de mon entourage, je passe parfois pour quelqu’un d’indifférent, de sans cœur etc. En fait, il n’en est rien. Comme vous avez pu le constater depuis que je vous parle, je suis sensible aux êtres qui m’entourent de leur bien et de leur devenir. Dire que je m’en fou de leur état c’est faux. C’est eux qui ne me comprennent pas.

Je refuse de céder à leurs caprices à me plier à leurs règles. Me mettre en colère quand ils le demandent, chercher à défendre mes positons, de sauver mon honneur bafoué par les insultes de quelqu’un est une bassesse à laquelle je refuse de me soumettre. Quitte à devenir pour cela indifférent, anormal, sans cœur, je l’accepte. C’est ma philosophie de vie et je l’assume.

En tant que dieu, je vous ai dit que je n’ai pas de loi  à vous enseigner sur comment vous devez vous comporter. Je partage juste avec vous mon code de conduite que je me suis moi-même fixé en tant que dieu.

Je n’ai rien à protéger si ce n’est mon cœur contre les mauvaises pensées. Quant aux hommes, ma famille, ils ne relèvent pas de mon domaine, la grande source qui est les a créés s’en occupe. La seule chose à faire pour eux, c’est de prier  et leur donner ce dont ils ont besoin et qui est dans l’étendu de mon champ des possibilités : amour, argent, sourire, conseil, soutien physique et moral, biens matériels, mais surtout cette connaissance que j’ai et qui devrait les faire sortir des limites ou du manque dans lesquelles ils s’enferment constamment, pour qu’ils réveillent le dieu en eux et vivre leur plein potentiel comme je suis en train de le faire à présent avec vous.

Quant au trésor, de prestige, de renommée, de fierté, d’orgueil et tout ce qui va avec, Dieu m’en préserve.

3 – Je n’ai rien à cacher ;

Toute notre vie, nous sommes toujours sur scène comme des comédiens ou des artistes. Avec nos parents, nous jouons la carte d’enfant. Avec nos amis ou collègues, la carte d’ami ou de collègue. Avec le conjoint ou partenaire, la carte d’amoureux. Avec nos gourous d’églises ou d’ordre, la carte de fidèle ou d’initié.

Tout le temps, nous sommes en perpétuel représentation de qui l’on devrait être, parce qu’à ce moment précis c’est ce qu’on devrait faire. On use donc de tous les artifices, de tous les déguisements et masques qui vont avec. Nous ne sommes pas nous, nous sommes juste la personne que la circonstance ou l’occasion appelle à devenir. Le plus beau de ces artifices ou déguisements est le mensonge, le semblant, l’hypocrisie, la ruse. Il est parfois difficile qu’on quitte la scène tant est que nous sommes toujours et toujours en train de jouer, de représenter, surtout  que sur cette scène, il faut impressionner le public, épater la galerie et qu’il y a des honneurs ou de l’argent en prime.

Pour moi étant donné que j’ai dit non à la tribu depuis fort longtemps, je vis ma vie en étant tout simplement moi. Comme je le suis, pas comme je voudrais que les gens me voient. Moi avec mes émotions, mes atouts et mes défauts. Je ne cherche pas à vous impressionner alors je ne chercherai non plus à vous mentir. Je cherche à être moi-même c’est tout. C’est pour cela que dans ce que je vous enseigne ou vous montre, je me réfère à moi d’abord avant de parler des autres.

Si j’ai un conseil à vous donner chers dieux, n’essayer pas d’épater la galerie en essayant de prouver ou de montrer qui vous n’êtes pas. Soyez authentique. Soyez-vous. Pour le reste vous connaissez ma philosophie : «  on s’en tape ». Je vis mon instant présent à fond. Le passé le futur, je me moque bien de ces deux voleurs de bonheur.

  1. Je n’ai rien à défendre

Vous savez on se défend quand on est accusé, opprimé, accablé. La plupart des temps nous nous défendons parce que notre égo passe un sale quart d’heure. On cherche à préserver son honneur, sa dignité.

Etant donné que je n’ai aucun honneur à défendre, ni rien à prouver ou à protéger, par conséquent je n’ai rien à défendre. Prenez tout ce que vous voulez. Faites de moi ce que voulez. Je n’en ai rien à  cirer. Si j’ai une seule chose à défendre, c’est ma liberté, mon libre arbitre contre votre prison du confort de la sécurité, de la stabilité, du réalisme. Un peu comme Florent Pagny l’a chanté dans sa liberté de penser. C’est une chanson que je vous conseille d’écouter et de regarder sur You Tube, c’est gratuit. Dans cette chanson ce que je refuse c’est le fait de vendre son âme au diable, d’aller en enfer ou de baisser mon froque. J’estime que le paradis est une bonne chose que la Source nous a réservé et qu’il est inadmissible que je baisse mon froque, je préfère que vous preniez ma vie, ce qui de toute façon est impossible. Vous détruirez peut-être mon enveloppe charnelle, mais vous me rendrez ma liberté, car je suis dieu et par conséquent mon esprit est immortel. De toute façon,  je retournerai à la Source un jour pour être pure authenticité.

Chaque dieu a ses principes. Ce sont là les miens. Pour vous l’entière liberté vous revient de faire de votre vie ce que bon vous semble. Vous êtes créateur de votre réalité. La référence à cette chanson c’est vous montrer juste le degré d’engagement quand on n’a rien à défendre ou à protéger et qu’on veut juste être soi.

  1. J’aurai toujours quelque chose à donner à toute personne que je rencontre.

Le conditionnement de la tribu au manque comme je l’ai longuement dit, est l’un des piliers sur lequel la plupart des hommes s’appuient pour développer le capitalisme à outrance, l’avarice et les clivages sociaux. Les pauvres accusent les riches de les pilier  et les pauvres se refusent à  admettre qu’ils ont quoique que ce soit à donner aux riches ou aux autres pauvres comme eux.

Tout ce clivage bien entendu relève de la sphère des hommes, du réel, qui est limité. L’abondance illimitée leur est impossible à admettre ou à concevoir et par conséquent chacun doit préserver son territoire et essayer d’arracher celui des autres. La tribu et ici particulièrement l’Etat veillent à garantir l’ordre et la sécurité des hommes et des biens, la stabilité des situations : l’emploi, le mariage, la propriété etc par le biais des lois.

Etant donné que nous sommes parmi les hommes, on va bien l’admettre et s’y conformer. C’est la loi des poules de prairie bien évidemment.

Mais moi d’essence divine, connecté à la Source et étant pure et parfaite expression de ce qu’elle est , comme la nature, le soleil, j’ai décidé de donner, car j’estime que c’est ce  pour quoi je suis sur cette terre, pendant le peu de temps qui me reste. Je donne,  pas seulement parce que c’est une loi de la nature à laquelle je dois me soumettre afin d’obéir à la loi de circulation, mais je donne parce cela me produit du bonheur. Je me sens bien quand je le fais. Mon corps et mon esprit son en harmonie. De voir que j’ai donné quelque chose à quelqu’un : un sourire, un conseil, un bien matériel, de l’argent, une connaissance  que sais-je encore et voir que cela l’aide, cela me procure du bien. Je me sens réellement dans ma peau de dieu, capable d’exaucer les prières et les vœux des gens et de leur apporter du salut. C’est un truc de ouf, qui procure énormément de plaisir. J’aime cela, je m’investis  à fond et chercherai toujours à le faire.

D’ailleurs à ce sujet, j’ai appris qu’il y des études qui montrent dans l’acte du don, celui qui fait le don, celui qui reçoit le don et celui qui observe l’acte, reçoivent tous une décharge de sérotonine la substance bienfaisance que  se libère dans  l’organisme quand on est content. Cela contribue à l’équilibre des trois personnes.

Faites des dons ; recevez des dons et observez là ou on remet des dons. Cela vous fait grandir, vous fait croire spirituellement car vous vous rapprocher de la Source qui est pure don, qui donne continuellement sans rien attendre en retour. En parlant de don, je retire tout ce qui sert à acheter votre conscience ou à acquérir votre faveur et qui relève purement et simplement du domaine de la corruption réprimée et condamnée par toutes les lois des hommes.

A un petit enfant, je donne du sourire et je prends le temps de jouer avec lui. Pour ce dernier, laisser-moi vous dire que je passe pour ridicule la plupart des temps car les enfants ne savent pas souvent s’arrêter. A mon ami, partenaire, famille, je donne mon amour, ma présence, mon argent, les conseils tous ceux dont ils peuvent avoir besoin et qui est en mon pouvoir. A un inconnu qui me rend service, des remerciements, des conseils et parfois du pourboire. Ce dernier n’est pas la corruption mais la récompense d’un service bien fait. Aux gens que je peux croiser dans la rue, une belle mine même si j’avoue que parfois le soleil ici en Afrique me fait souvent froncer le visage parce que je ne le supporte pas trop. Mais je m’arrange autant que je peux pour le faire et s’il y a le moindre contact, un sourire pour la première fois, une poignée de main bien chaleureuse, des histoires drôles pour qu’il sourit ou meurt de rire, des conseils et parfois un peu d’aide matériel ou financière quand je peux.

Dans le don, chaque fois que je le fais, je me dis : je fais un marché de dupe avec Dieu. Un marché de dupe, c’est lorsqu’une partie est un peu lésée lors de la transaction. Dans mon cas, ça pourrait paraître Dieu mais étant donné qu’il est infini et que je suis son enfant, cela lui donne plutôt la joie puisse c’est une loi de la nature qu’il a lui-même faite : quand je donne quelque chose à quelqu’un, cela me revient toujours au centuple. Imaginer si c’est en termes d’argent que vous donnerez désormais aux gens quelle fortune vous allez bâtir. Cette loi doit être sans contrepartie de celui qui reçoit le don. Qu’il soit dans l’impossibilité de vous rendre ce que vous lui avez donné. De tout cœur à votre tour vous ne devez rien  attendre de lui en retour mais de la Source.

 

La liste n’est pas fini il y a plein d’autres choses mais je voudrais juste dire qu’il y a tant de choses que nous pouvons donner à l’humanité. Mais il y a deux choses que je voudrais que vous puissiez faire si vous voulez me rejoindre dans le groupe de ceux qui vont désormais faire des dons illimités.

 Faites don d’abord de l’amour à toutes les personnes que vous allez désormais rencontrer. Cette affaire d’amour c’est le langage de l’âme, du cœur. Les mots n’ont pas toujours besoin d’être là. Les bébés, les animaux, les femmes, le ressentent très vite. Si vous êtes sincères cela se voit automatiquement. Si vous faites semblant cela se ressent aussi automatiquement.

Donner de l’amour aux hommes et faites tout avec amour. Ce n’est pas parce que vous allez retrouver votre nature divine que vous allez envoyer balader votre patron lui dire que sa stabilité son salaire qu’il aille en enfer avec. Non. Appliquez-vous désormais à votre travail, faites-le avec amour et dévouement.

Si vous voulez l’indépendance financière, il vous faut d’abord travailler pour quelqu’un, apprendre le mangement, comment on gère les hommes, la comptabilité, comment on gère l’argent et plein  d’autres chose. Soyez bon, meilleur dans ce que vous faites si vous avez suffisamment de ressources ou vous avez obtenu ce que vous voulez, vous pouvez le remercier pour ses bons et loyaux services et vous séparez en paix. Il pourra vous donner des conseils pour vos affaires, vous recommander des gens, ce qui est très utile en business, être votre partenaire pourquoi pas. C’est ce que j’ai fait avec la plupart de mes anciens patrons.

Vous n’allez pas tout de suite boycotter vos Etats ou vos institutions pour leur dire allez en enfer avec votre sécurité, votre stabilité je n’en ai rien à foutre. Non. Si comme moi vous n’aimez pas travailler comme agent de l’Etat, décidez de travailler à votre propre compte, de créer des entreprises, de recruter des gens, de créer de la valeur. Moi j’ai choisi les affaires parce que j’en avais marre de la façon attardée de mes paires qui ne rêvent que d’être fonctionnaires pour avoir la garantie de la sécurité du matricule de la fonction publique. Nous sommes plus de 22 millions d’habitants dans mon pays et la fonction publique c’est à peine 500 mille personnes. Comment tous, pouvons rêver d’aller travailler là-bas ? Même si on chassait tous ceux qui sont là, il  n’y aurait pas de places pour tout le monde.

Franchement, l’Etat pour survivre a besoin de faire des prélèvements sur les revenus des citoyens que nous sommes, ce qu’on appelle les impôts et les taxes. Si tout le monde devient fonctionnaire qui va créer la richesse, les emplois, qui va payer les impôts ? C’est nous condamner à la mort de l’Etat, ce que je ne saurais accepter. Je suis camerounais, fier de l’être et de le crier sur tous les toits du monde entier. Je m’en fiche de ce que pensent  les autres à propos de mon pays. Je ne suis pas fier de savoir que mon pays fait partie du tiers monde et je me bats à mon niveau pour qu’il sorte de là en réveillant les consciences pour que chacun donne de son plein potentiel et produise de la richesse.

Je suis contre la politique politicienne, je ne crois à aucun parti politique mais je crois à l’Etat. Les partis politiques, les régimes peuvent passer mais l’Etat reste et survivra parce que c’est ce pourquoi mes ancêtres et vos ancêtres se sont battus et ont versé de leur sang et que nous devons  préserver.

Vous aussi, comme moi je vous invite non à vous battre pour les politiques politiciennes, mais à vous battre pour votre pays, pour votre Etat, pour qu’il émerge, qu’il soit fort, que vos concitoyens aient du travail, qu’ils soient heureux comme vous l’êtes. J’ai un héritage, un leg, un don à laisser à ma famille, à ma tribu, à mon pays, au monde et aux générations futures.

Un grand secret que je partage avec vous : quand vous renoncez à prouver quoi que ce soit à quiconque et à vous- même, à défendre ou à protéger quoi que ce soit, à être vrai dans ce que vous êtes et à donner toujours quelque chose à quelqu’un, la Source Universelle se charge elle-même de le faire à votre place. A vous défendre, protéger, à vous donner de la valeur et en en bonus pour chaque don que vous faites, à vous le rendre au centuple. Ceci est vérifié à tous les niveaux. Essayez et vous m’en direz des nouvelles.

 

EXERCICE

En tant que dieu et par conséquent illimité, définissez dès aujourd’hui quel sera votre code de conduite, d’éthique ou d’honneur. Je vous ai parlé du mien. Appliquez votre code de conduite à votre vie.

 Vos ressources étant  illimités comme moi, choisissez d’avoir toujours quelque chose à donner à quelqu’un et un projet qui vous permettra de léguer un héritage à votre famille, votre tribu, votre pays et  au monde pourquoi pas.

A présent que vous connaissez mon code de conduite, et que vous allez vous créer le vôtre, allons donc examiner le point suivant pour vos objectifs sur un an, que vous allez vous fixer, pour vivre votre auto croissance, votre bonheur.