Ayez des buts dans la vie

Une confusion notoire la plupart des temps existe entre un but et un objectif. Dans certains dictionnaires ou dans certaines définitions un but est un objectif. Mais ici, nous allons vous dire que ce n’est pas le cas.

Un but est une finalité, c’est le résultat désiré.

Tandis qu’un objectif c’est le moyen pour atteindre ce résultat, c’est l’ensemble d’organisation qu’on met en œuvre pour obtenir un résultat, une finalité.

Par conséquent s’agissant du bonheur, le bonheur est le résultat que vous recherchez dans la vie. C’est le résultat et la finalité pour laquelle vous travaillez, recherchez ceci ou cela.

Permettez-moi de prendre quelques exemples.

Lorsque vous avez faim, votre objectif est de pouvoir manger. Vous mettez sur place une série d’actions et stratégies qui vont satisfaire votre faim. L’acte qui va consister à manger n’est pas votre finalité mais plutôt un moyen. En réalité, avoir faim ou rechercher à manger c’est parce qu’à l’intérieur de vous  vous ressentez un inconfort. Votre niveau d’énergie a baissé, vous n’êtes plus suffisamment concentré, vous manquez de force, vous avez les vertiges, vous n’arrivez plus à fournir suffisamment d’efforts…. Bref vous êtes comme une voiture qui manque de carburant et commence à lâcher. Si vous ne mangez pas vite pour remettre du carburant dans votre moteur, tout comme la voiture, même si vous voulez continuer votre activité, le moteur s’arrête automatiquement. Comme pour le cas de la voiture, ça peut parfois laisser des pannes. Et pour votre organisme, quelques malaises ou maladies.

Le but donc en mangeant, c’est de vous sentir bien. De redonner de la dynamique à votre moteur pour que toutes les pièces fonctionnent bien. Et quand vous mangez, ce n’est pas nécessairement l’acte ou le fait de manger qui vous calme ou donne la sérénité, c’est lorsque vous appréciez les saveurs du délicieux repas que vous dévorez. Plus il est bon, plus vous vous sentez bien. Et vous rechercherez encore à le manger ou à consommer d’autres repas qui comme lui vous donnerons la même sensation.

J’insiste sur le mot : « sensation ».

Dans le bonheur, c’est ce que nous recherchons, plus cette sensation est agréable, plus elle est intense, mieux nous nous portons. Et par conséquent, nous chérissons le canal qui nous a produit ou produit ces belles sensations. Si c’est la nourriture, vous comprenez pourquoi certains sont en rogne quand on touche à leur repas.

Si c’est une personne, comme dans le cadre du sexe ou de l’amour, on est prêt à éliminer le rival ou toutes les circonstances qui peuvent faire que l’être aimé s’éloigne de nous ou ne nous donne plus suffisamment de belles sensations. C’est pour cela que les hommes s’époumonent tant pour satisfaire les caprices et désirs des femmes.

Ce n’est pas la personne elle-même qui importe tant et qu’on aime, mais la sensation. Et le soi-disant amour qu’on a pour ce dernier ou cette dernière en fait,  c’est juste des artifices pour que la source de notre plaisir ne soit pas corrompu. Si par la suite même  ladite source est là, on n’a plus la même sensation, et bien on va la chercher ailleurs ou on se contente du peu de sensation qu’elle peut encore à nous offrir si on joue la carte de la fidélité.

L’autre artifice mais très nocif dans les relations d’amour, c’est que l’autre pendant qu’il est avec l’autre personne qui ne lui procure plus suffisamment de sensations fortes s’imagine être avec telle ou telle autre personne qu’elle désire. Il pourra ressentir de sensations fortes pour elle, mais très vite si cela persiste, il ou elle aura besoin de l’original de ses fantasmes. Et ce type de relation reste toujours tendue et s’use finalement avec le temps ou se déchire. Parfois, c’est la carte du sadomasochisme dont je vous parlerai un instant.

Si c’est un service, peut-être un travail que vous faites, vous vous appliquez si ce sont les applaudissements, l’admiration des autres ou du patron qu’on recherche.

Dans les mille et une choses que nous faisons au quotidien, c’est cette sensation que nous recherchons.

Mais en général pour le commun des mortels dont vous et moi, ce qui procure plus sensations de bien-être intense reste la nourriture et le sexe. Les autres sont secondaires. C’est lorsque peut être vous vous élevez spirituellement que vous pourrez appréciez, la méditation, la charité etc.

Toutefois ce n’est pas toujours la sensation de bienêtre ou de bonheur qu’on recherche. Il arrive qu’on recherche des sensations qui plutôt nous mettent mal à l’aise. On peut aimer la mélancolie, des situations ou tout notre être est triste, et il y en a qui aime qu’on s’apitoye  sur eux, qu’on leur plaint, qui aiment exposer leur misère et déboires aux gens, qui veulent que tout le monde entier sache qu’ils souffrent. D’aucuns pour cette fin reste accrochés à leurs maladies refusent de guérir bien que consciemment prenant des médicaments. Leur subconscient leur maintien dans cet état car lui qui ne comprend pas le langage du mental sait que son maitre aime la souffrance.

Toujours à ce sujet de mélancolie, il y  en a qui consciemment aime cet état. Je vous prendrais l’exemple des adeptes du sadomasochisme ou du bondage. Pour les soumis puisse qu’il y a deux clans : le maitre et l’esclave, ce dernier aime et apprécie la souffrance, la torture physique, l’humiliation. Il tire plaisir dans cet état. Et dans leur cas, le soumis endure des choses à la limite inimaginables. Je ne vous conseille pas de faire des recherches là-dessus parce que c’est difficile à supporter pour les âmes sensibles.

Ne vous mettez pas tout de suite à les plaindre. La plupart d’entre nous sommes esclaves du sadomasochisme verbal, moral. Je vais prendre le cas des couples et des travailleurs.

Il en a qui bien qu’il soit constamment insulté, humilié, torturé avec des paroles ou des corvées aiment bien cette situation, tirent du plaisir dans cet état. On rentre on se plaint du patron ou du conjoint qui est vraiment chiant, vous me pardonner l’expression mais on ne veut pas le quitter. On reste année après années. Et pour vous dire que ce n’est pas toujours par peur mais ils y restent parce qu’inconsciemment ils aiment cela. Que ce soit le travailleur ou le conjoint humilié, tous reçoivent des tas de propositions meilleures, se plaignent de leur sort mais ne partent jamais.

Cette attitude est due en majorité au conditionnement de la tribu qui a appris à ces esclaves ceci :

• Pour le travailleur, « contente toi au moins de ce que tu as, tu sais que le travail est dur dehors. Pour les belles propositions de salaire et d’augmentation  qui te dit qu’ils vont les tenir ? Ils peuvent fermer du jour au lendemain or ici tu as déjà une garantie que tous les mois tu auras de quoi pouvoir manger. Ton salaire est garanti. Un tien vaut mieux que zéro. Mieux vaut un diable que tu connais, au lieu d’un ange que tu ne connais pas. » Le cimetière des rêves : le job, la sécurité, la stabilité. Même si c’est dans l’esclavage et l’humiliation pourvu qu’on ait de quoi manger. Résultat de cette attitude d’esclavage : 80% d’esclaves dans le monde pour servir 20% de maitres.
• Pour les couples comme je venais de vous parler des adeptes du bondage, cela leur procure du plaisir. Son homme ou sa femme parce qu’il y a des femmes aussi qui tapent leurs maris et les humilient publiquement ou en privée, cela procure du plaisir à la partie lésée. D’aucuns vont vous dire, je ne pars pas par amour pour mes enfants pour le cas des femmes, je le leur concède. Mais au fond, elles aiment bien cette humiliation ou ces violences. On pourra ouvrir ce débat sur d’autres cieux, mais sachez que pour défendre ma position je vous citerai un vieil adage de chez moi : «  les mouches poursuivent la viande pourrie » « Qui s’assemble se ressemble ». Et pour ne pas vous laisser triste si vous êtes dans cette condition à la fin de ce programme vous aurez un ingrédient miracle qui vous ramènera votre conjoint pour pouvoir revivre encore ces sensations d’entant.

Ne me prenez pas pour un charlatan, il y a des méthodes simples et très efficace qui marchent pour ce genre de couple et je partagerai gentiment cela avec vous à condition d’en faire la demande. Notre objectif vous programmer au bonheur et si c’est là où vous avez des problèmes, nous avons une solution scientifiquement prouvée qui marchent et dont des milliers de couples peuvent en attester l’authenticité. Dans ce programme ci je n’en parle pas.

Le sujet commence à devenir triste, il faut qu’on change de décor et qu’on mette plus de gaieté.

 Comme je le disais tantôt, votre but dans la vie même si la tribu a fini par vous faire croire que la souffrance est quelque chose de bien, c’est le bien être. Vous sentir bien dans votre peau, dans votre travail, dans vos relations avec autrui, avec votre famille, dans vos affaires, avec votre conjoint.

C’est notre raison d’être ici-bas : faire le bien, penser le bien, recevoir tout ce qui est bien et qui nous donne la sensation intense de joie, de plénitude, de bien être, de paix.

C’est l’unique but que vous devez rechercher dans tout ce que vous faites ou allez créer. Vos créations doivent faire en sorte que vous sentiez bien. Soyez attention au langage de votre corps.

Quand vous faites, dites, ou pensez aux choses ou aux êtres arrêtez-vous un instant et demandez-vous comment je me sens ? Si cela vous excite, vous rend joyeux, et que tout votre corps est heureux alors continuez. En continuant rassurez-vous que vous êtes dans la limite de la légalité et  après que vous l’ayez fait ne vous rendra pas triste, mécontent, aigri, abattu. Je vais prendre le cas de la drogue et du viol.

Si vous tirez un joint ou prenez des liqueurs fortes,  ou violez quelqu’un, à l’immédiat, tout va bien. Vous savourez cet instant précis. Mais que se passe-t-il lorsque la coque, le joint, ou l’alcool, ou vos bourses sont vidées après avoir pris votre pied après le viol, et que vous revenez sur terre après le léger nuage dans lequel il vous a transporté ? Des choses pas bien. Des tremblements le long du corps, des palpitations, des vertiges, de sévères maux de tête, une puanteur pestiférente, des vomissures, des traumatismes, avec quand la note est parfois salée des bagarres, des blessures, des cadavres. Un sentiment d’insécurité et de culpabilité qui vous hante et parfois la prison ou la mort pour le drogué ou du violeur.

S’il faut arriver à ces résultats après un moment de plaisir, je vous dirai, cela n’a  rien avoir avec le bonheur.

Quand vous créer quelque chose ou donner corps à l’une de vos créations, c’est une sensation de joie et de satisfecit total et permanent qui doit vous animer. La sensation doit être de telle sorte que lorsque vous pensez seulement à votre création ou réalisation, vous trouvez même si l’environnement est hostile à votre création des raisons d’invincibilité, un courage et une force que rien ne peut arrêter. Un peu comme nous lisons dans le livre de Genèse 1, lors de la création : «  Dieu se retourna, et il vit que cela était bon ».  Le vrai bonheur c’est cela, les créations authentiques c’est l’effet qu’elles produisent chez leurs créateurs.

Examinez avant, pendant et après les conséquences ou sensations que vos créations auront non seulement sur vous le créateur mais aussi sur votre entourage. Si elles permettent à vous et à votre entourage ou au monde entier de se sentir bien alors continuer et ne laissez personne vous stopper ou essayer de marcher sur vos rêves.

C’est cela votre but dans cette vie et c’est cela que vous devez poursuivre avec force, détermination, abnégation et courage à toute épreuve.

Le but du créateur c’est de donner, c’est de laisser  aux êtres que vous aimez, à votre famille, à votre tribu, à votre pays, au monde, une œuvre parfaite, une création authentique, un chef d’œuvre qui inspire amour et bonté et dont tout un chacun tirera satisfaction d’elle.

Vous êtes ici sur terre pour donner. Donner et puisez dans votre abondance illimitée des trésors à offrir au monde. Illuminez par votre sourire tout votre espace et donner le toujours à ceux que vous croisez. Il est inépuisable.

Donner de votre présence à ceux qui en ont besoin, elle est illimitée.

Votre amour à tout ce qui vous entoure. Il est illimité.

Partagez   votre connaissance à tous ceux qui en ont besoin en évitant bien sûr d’être pédant.

Partagez vos ressources illimitées avec ceux qui vous entourent comme au loin : une belle musique, un délicieux repas, un festin de rire, de belles paroles réconfortantes à ceux qui sont abattus, de l’espoir à ceux qui ont perdu confiance en la vie.

Partagez donnez et investissez votre argent pour votre auto croissance,  de belles causes, pour les pauvres, les orphelins, les veuves, les persécutés, les opprimés, pour construire et bâtir votre pays.

C’est la loi universelle de la nature : DONNEZ ET RECEVOIR

Lorsque vous donnez, ce que vous donnez vous revient multiplier, amplifier. C’est l’effet, boomerang.

Pour bien la comprendre. Regardez juste la situation de manque dans laquelle vous vous êtes conforté. Tellement vous vous êtes dit et confiné que vous êtes pauvres et malheureux que l’effet boomerang a tout de suite produit  la misère et le dénuement dans lequel vous vous trouverez, avec en prime, quelques bonus : les maladies et une bonne cohorte de confrères et consœurs pour vous conforter dans cette situation que vous n’êtes pas seuls. Chapeau l’artiste !

Sortez-vous des contingences de manque, c’est un conditionnement de la tribu. La tribu nous enseigne que les ressources sont limitées, qu’il faut donc les utiliser rationnellement. Parfois , elle nous a fait croire que pour survivre, vous êtes mon ennemi, mon concurrent et que de ce fait, je dois tout faire pour vous avoir à l’œil, vous contrecarrer ou vous éliminer purement et simplement. Or pour vous donner un petit exemple pendant que d’autres meurent de faim et de soif, d’autres meurent de surpoids ou de syrose de foie. D’autres recherche quelque nourriture, babioles, tandis que d’autres ne savent même pas ou les mettre. Les riches  jettent ou gaspillent la nourriture, d’autres  les ramassent avec empressement. Heureusement qu’est née l’industrie de la poubelle et dont certains d’entre nous en tirent les bénéfices. Je veux parler du recyclage d’ordures, de la brocante, de la vente des vêtements de seconde main, des voitures d’occasions etc.

 Votre source, votre nature divine est illimitée et inépuisable. Soyez comme le soleil, la nature, donnez sans espérer un retour et vous serez toujours comblé et béni. Vous ne manquerez de rien.

Qui que vous soyez, ou que vous vous trouvez, vous avez toujours quelque chose à donner à quelqu’un. Oui je dis bien que vous disposez et avez toujours quelque chose à donner à quelqu’un. Même si c’est rien. Donnez ce rien aux personnes que vous rencontrerez désormais. Qu’ils n’aient pas à vous le demander. Cela doit être spontané et venir de vous. Donnez le rien que vous avez à quelqu’un et vous serez surpris de constater que vous vous êtes menti des années que vous n’avez rien et que personne ne vous aime ou ne vous aide.

Vous vous êtes conditionné dans l’avarice, le manque d’estime de soi et dans un capitalisme à outrance, que vous ne voulez rien donner mais vous voulez tout prendre, tout arracher des autres : amour, santé, argent, paix, joie, présence etc. Non ! Il est inadmissible que vous perdiez votre trésor, votre argent, votre sourire, votre connaissance, votre paix, votre santé. Non ! Je ne cède rien et j’en veux encore. Vous êtes demeuré éternellement le petit enfant gâté qui apprend à s’affirmer et qui veut tout pour lui seul et rien pour les autres. Si on tente de lui prendre quelque chose, il pleure, il gémit, il se fâche, il hurle, il gronde, il tape. Et vous dites que vous êtes pauvre ? Non, vous êtes pire que les riches que vous montrez du doigt. Eux au moins parfois donnent un peu de leur attention aux pauvres même s’ils les exploitent. Ils font des dons. Ils créent des emplois.

Qu’avez-vous à donner à quelqu’un ?

Supposons un tant soit peu que vous refusez de donner votre argent aux gens parce que c’est une ressource rare. Le sourire est – il une ressource rare chez vous ? L’amour est-il une source rare chez vous ? La joie est-elle une source rare chez vous ? Votre présence est-elle une source rare ? Le conseil, le réconfort sont-ils des ressources rares chez vous ? Dans quel marché se vendent-ils ? Et combien coutent-ils si bien que vous êtes incapables de vous en procurer ou pire faire un don de cela à quelqu’un ?

Nous avons tous une fortune illimitée en nous de ressources que nous pouvons donner aux milliards d’êtres qui peuplent la planète. Si vous estimez que vous êtes pauvres, c’est parce que vous avez bloqué la loi de la circulation, du donner et du recevoir. C’est le secret de la richesse ou de l’argent, si c’est ce que vous recherchez le plus. Offrez ou donnez de la valeur aux gens, résolvez leurs problèmes et boum vous êtes riches. Le reste autour  ce ne sont que des accessoires.

Et comme je suis riche, je me permets de  vous offrir ce cadeau. Ces connaissances, ces secrets, qui m’ont exigé beaucoup de temps, d’efforts et d’argent.

Ce que je recherche, ce n’est pas vous faire étalage de ma générosité ou de ma fortune, loin s’en faut.  Pour être heureux, il n’y a pas d’autres secrets. Le seul secret : donner. L’autre ingrédient que vous pouvez y ajouter, c’est de donner souvent gratuitement et ne rien espérer en retour. Ayez toujours quelque chose à donner à toute personne que vous croiserez désormais. Faites moins de demandes et vous serez extrêmement comblé et riche. Je l’ai appliqué à ma vie et cela marche.

Je ne dis pas que vous ne devez pas vendre vos services, votre expertise ou connaissance sinon vous risquerez être une sorte de Mère Theresa qui ne dit pas son nom. Non.

Pour être riche vous devez avoir une expertise, un service, une solution que vous vendez au gens. Mais ne mettez pas toujours l’argent ou le prix en avant. Donner d’abord de la valeur aux gens l’argent viendra.

Facebook ou Google pour vous et moi sont gratuits. Qu’est ce qui fait que leurs propriétaires soient aujourd’hui multimilliardaires en dollars alors que ces deux-là ne vont jamais vous demander de l’argent et qu’ils promettent que jamais cela ne sera le cas ? Si vous avez la réponse tant mieux mais si ce n’est pas le cas je pourrai y répondre à d’autres occasions que ce programme.

EXERCICE

Votre but dans la vie c’est de vous sentir bien, donner et recevoir. Il ne se confond pas aux objectifs qui sont les moyens pour atteindre ce but et qui concernent les choses ou les êtres  qui vous mettent dans cet état.

Pour être plus heureux désormais, décidez d’offrir toujours quelque chose matérielle ou immatérielle à tout le monde que vous croiserez sur votre destinée. Ce qui importe c’est d’offrir toujours quelque chose peu importe, ce que c’est. Le seul ingrédient obligatoire et nécessaire est de le faire avec votre cœur et non avec votre cerveau. Quand vous faites quelque chose avec le cœur, les autres le constatent et remarquent très vite et cela leur marque profondément. La qualité, le prix ou la valeur de la chose n’ont pas grand intérêt. Le cœur lui donne toute la valeur en termes de qualité et de quantité à la chose. Quand je dis avec le cœur, c’est avec amour, c’est avec passion. Vous découvrirez désormais par cette nouvelle attitude ce qu’est  l’abondance illimitée. Je vous assure vous m’en direz des nouvelles.

Faites donc la liste et l’inventaire de votre fortune que vous offrirez en fonction des catégories à ceux qui vous entourent. Ne négligez rien. Rien est un impressionnant cadeau. Offrez-le constamment aux gens. Vous serez surpris seulement qu’en donnant rien aux gens, il s’est transformé en trésor. Que ces gens voue louent et vous remercient pour ce rien que vous leur avez offert. Du coup sans le savoir vous découvrirez que vous êtes un alchimiste.