4- La carrière ou les affaires

02/06/2015 20:26

Ces deux éléments sont ceux qui prennent tout notre temps, auxquels nous consacrons plus de temps qu’à nous même ou  à notre famille.

Pour le premier c’est le travail, le job. C’est ce qui nous permet de ne pas être oisif, de contribuer à la création de la croissance et de se rendre utile en société. Mais ici on demeure sous la sphère de l’employé 80% de la population s’y trouvent. C’est aussi dans cette tranche que se trouvent tous les pauvres. En échange de l’argent qui va leur permettre de résoudre leur problème de survie, le travail vend son temps et son énergie au patron qui en dispose selon les termes du contrat. Contrat à durée indéterminé, à temps partiel.

L’employeur ici peut-être l’Etat, ou une personne morale (société, associations, groupements etc) représentée naturellement par une personne qui est le patron, le boss celui qui décide de comment les choses se passent. Pour ces travailleurs, plus tu voudras gagner, plus tu devras vendre de ton temps et de ton énergie. Les cadres, qui le font ou ceux qui font plus d’heures supplémentaires, ou plusieurs petits boulots, n’ont pas le temps pour s’occuper d’eux même encore moins de leur famille.

Ils sont constamment absents à la maison parce qu’ils sont au travail ou en voyage qu’ils appellent des missions. Ce ne sont pas des créateurs de richesses au sens propre du terme car ils y contribuent, ce sont juste des aides. Les créateurs ce sont l’Etat ou les entrepreneurs, groupe auquel je vous invite quand vous aurez revêtu vos attributs royaux de dieu.

L’autre groupe c’est les hommes d’affaires ou les businessmen.

Ce sont les créateurs de richesse, les dieux qui ont puiser dans leur essence ( leur pensée) pour donner corps à leurs rêves. Ils créent la richesse en employant les autres, moins ingénieux ( ce qui n’est pas vrai du tout), ou bien ils travaillent à leur propre compte. Dans cette catégorie les 20% de la population. Tous, ne sont pas des riches mais c’est le grand groupe qui contient les riches, où je me trouve, ou vous vous trouvez aussi peut être.

Si vous vous trouvez de l’autre côté, c’est-à-dire chez les travailleurs, je vous invite à rejoindre ce groupe en devenant créateur de croissance ou de richesse par une simple chose : donner corps à l’idée de génie qui vous habite et qui peut changer les conditions minables dans lesquelles vous vous vous trouvez, pour savourez aussi l’aisance de l’indépendance financière et de la liberté de gérer son temps sans que quiconque vienne à vous donner des injonctions pour être ci ou là et faire ci ou ça.

Comme objectif sur l’année si vous êtes employé, fixez-vous clairement les résultats que vous voulez atteindre dans votre carrière. Le plus grand de ce résultat doit être la productivité, c’est-à-dire apporter une plus-value à votre entreprise ou à votre patron. Faire plus que vous ne faisiez hier. Et se dire, étant donné que j’ai réveillé le dieu qui sommeillait en moi, et que je ne plus prisonnier de mon égo ou de mes peurs, je dois générer tel chiffre d’affaire. Ramener tel nombre de clients à la boite. Faire en sorte que le label de ma société soit plus reconnu en menant telle ou telle action. Bref répondez à la question qu’est-ce que je peux faire pour ramener la croissance, le progrès à ma boite ou société.

 Cela doit être une sorte de brainstorming ou science de remue-méninges. Vous pouvez vous faire aider pour cela par vos collègues qui ont des plans pour que la boite décolle, avance. Je sais que la plupart des boites, les patrons sont 70% responsables du mauvais fonctionnement de la structure, et refusent parfois d’écouter leur employés qui dans ce cas de situation se plaisent à l’aider à couler sa propre boite.

Si cela est votre cas poser d’abord des actions personnelles qui marquent votre patron ou vos supérieurs hiérarchiques, ensuite aller les rencontrer pour dire si telle ou telle chose pouvait être faite vous fournirez plus de résultats. Si vous êtes vendeur, nous vous enseignerons des techniques qui vous permettront de faire du chiffre d’affaire car vous serez capable de vendre aux gens des choses qu’ils ne veulent pas, juste par votre manière de faire. A ce sujet certes ce n’est pas bon pour la loi de l’échange, mais je vous assure que les bons vendeurs savent le faire.

J’ai acheté plein de  choses qui au moment de l’achat ne me serviraient à rien, mais juste parce que le vendeur était bon, avait une très bon accroche et qu’il aurait quasiment été impossible qu’il parte sans que je n’ai le produit. Je l’ai souvent fait pour encourager ces vendeurs. Et je suis sure que beaucoup comme moi le font aussi, ce qui permettait à ce vendeur de ramener du chiffre.

Tandis que plusieurs fois, j’ai souvent vu des choses qui me plaisaient mais le vendeur ou l’attitude du vendeur faisaient que  je n’achète pas ou lui accorde du crédit.

Chacun d’entre vous a déjà vécu la même expérience que moi. Or si ces erreurs sont corrigées et que le travailleur enthousiaste souhaite la réussite de sa boite, nous pourrons apporter une plus-value à l’économie de nos pays et changer vraiment le niveau de vie.

Pour le patron, je sais que c’est déjà un visionnaire parce que dès le début de l’année, il fixe clairement ses objectifs en suivant le plan SMART. La seule chose que je dirais à mes collègues patrons, c’est qu’il faut être flexible, ouvert aux remarques. Ne pas être toujours scotcher sur son plan et dire que rien ne va nous dévier, mais suivre les signes ou la coïncidence comme je venais de parler.

Oublier qu’on est patron, se faire passer parfois pour un simple client ou se mettre dans la peau d’un client et voir la manière que vous êtes traité. Cela vous aiderait à vous améliorer nettement, à comprendre la psychologie du client. Faire des séances de brainstorming avec vos employés.

Voici à mon avis deux raisons pour lesquelles les employés sabotent souvent leur propre entreprise :

  • La première le manque de transparence en termes de finance.

 

Lorsqu’un employé a l’impression que son patron gagne plus qu’il ne lui offre, et qu’il travaille trop pour un salaire minable, il fera tout pour se limiter à l’essentiel, et mettre les clients mal à l’aise puisse que son mal être transparaitra sur sa face, lui qui est en contact avec le client.  Pour cela, même si ce n’est pas une totale transparence, il nécessaire de dire voici ce que nous avons encaissé voici ce à quoi vous avez droit. On est dans le vert ou dans le rouge.

Dans ce cas de situation, c’est pour cela que j’aime le système américain, mettre un salaire de base pour tous et dire, si vous réalisez tel quota, voici combien vous gagnez, sous forme de commissions ou de primes. Plus le travailleur rapporte à la boite, plus il gagne. Avec ce système, j’ai connu quand je travaillais en 2006 dans une compagnie d’assurance, un employé qui touchait plus que le Directeur Général, parce qu’elle avait ramené un gros contrat qui lui faisait toucher de grosses commissions.

En ce qui me concerne pour ma boite, je n’ai aucun mal à faire moitié moitié  avec l’agent qui me fait gagner sur une affaire. Mieux il est satisfait et à l’aise mieux je gagne, mieux mes affaires se portent.

  • La seconde c’est le manque d’utilisation des ressources efficiente de main d’œuvre.

Pour la plupart des pays du tiers monde comme le mien, les employés marquent leur présence au travail comme élément nécessaire justifiant leur salaire ou traitement. Ce n’est pas nécessairement qu’est-ce que je produis, mais combien de temps j’ai passé au boulot. On est là loin des stéréotypes allemands ou il faut faire 8 heures de travail et non 8 h au travail.

On doit payer un employé parce qu’il a fourni un travail précis. Pas parce que pour ses beaux yeux, il était là à vous regarder et qu’il n’est allé nulle part  en dehors du bureau. Voir tous ces gens qui tapent des commentaires dans les lieux de travail, qui jouent au zuma ou aux cartes sur leur ordinateurs, qui regardent des films etc pendant les heures de travail, pour moi c’est un manque optimal d’utilisation de ressource. Bien sûr vous me direz que certains n’ont rien d’autres à faire que d’attendre des gens, soit.

Mais j’opterais pour le système de McDonald qui sait que pour lui au-delà de trois heures au travail, on est plus très productif, il faut vous remplacer. Ainsi non seulement on vous donne ces trois heures, mais pas tous les jours de la semaine. Ainsi pour un même poste on peut utiliser plusieurs personnes qui ont le devoir d’être efficace sinon elles sont remplacées. Cela a aussi l’avantage de lutter contre le chômage de fournir aussi des jobs pour les étudiants qui ont aussi besoin de boulots partiels pour gérer leurs problèmes, de rendre les gens plus productifs et efficace.

En Europe, je sais que ce problème de productivité ne se pose pas trop. Il est très cuisant ici en Afrique et j’en parle parce que je sais qu’il y a des entrepreneurs africains qui doivent y penser et instaurer le paiement à la tache ou par heure comme en hexagone. Ce système peut bien marcher dans des secteurs comme la restauration, le transport, les usines de chaine de production, les commerces où il y a un grand volume d’achat etc.

Je sais que dans ce secteur il y a des experts ou des cabinets qui apprennent aux managers comment le faire, et je vous prierai si vous êtes patrons d’aller sans cesse vous former sur, comment vous pouvez faire grandir votre affaire et mieux gérer vos employés et vos clients. C’est très important.

En conclusion  parlant de la carrière ou des affaires, il est nécessaire que chacun à présent qu’il a pris la décision de grandir et faire du progrès dans son domaine, qu’il le fasse avec acharnement, zèle, enthousiasme, humilité tout en sachant que ce n’est pas seulement le travail qui paye mais que tout est grâce. J’en ai déjà parlé plus haut quand je vous disais de rentrer en contact avec la source. En suivant les signes ou la coïncidence, et en appliquant si vous le désirez mon code  de conduite, vous parviendrez surement à de bons résultats.

De toute évidence si nous avons formé la communauté, c’est pour que l’ensemble des membres des créateurs ou de dieux qui la rejoignent, bénéficient de l’expertise ou du soutien des autres membres. C’est un réseau social comme je le disais dédiée à célébrer le moindre pas, la moindre avancée que vous faites vers l’avant pour votre auto croissance. J’en parlerai plus à la fin de ce programme pour vous le présenter.